École Internationale PACA Manosque

Témoignages de nos anciens élèves

I joined the International School of PACA in 2008, at the beginning of middle school. After very exciting years there I pursued scientific preparatory classes at lycee Thiers in Marseille and joined ISAE SUPAERO engineering school in taught me one thing it is to always remain open to opportunities, and be turned to others and the world. In this spirit I tried as much as possible to travel the world, both for leisure and professional experiences. After working in Frankfurt and Hong Kong I will be joining a consulting firm in New York at the end of my studies. I guess meeting new people and experiencing various cultures never gets old once you tasted it. And the International School is a wonderful door to have this first taste.

Marc Boursin, British OIB, promotion 2014

Je suis actuellement étudiante à Sciences Po Paris et je rentre en septembre en double master avec HEC. La formation que je suis a pour but de me mener vers des fonctions à responsabilités aussi bien dans le domaine public que dans le secteur privé. Si quelques fois, les cours peuvent manquer de concret et paraissent très théoriques, Sciences Po apporte une véritable formation à l’esprit critique, permet aux étudiants de saisir l’enjeu des problématiques actuelles à travers un prisme multidisciplinaire et ouvre de nombreuses voies professionnelles possibles.

Mon admission à ce cursus universitaire doit beaucoup à l’EIPACA. L’apprentissage des langues, l’obtention d’un bac pluriel et le soutien de l’équipe pédagogique ont été autant de facteurs qui m’ont permis de réussir le concours d’entrée. Au-delà de l’aspect scolaire, ce lycée lie les élèves entre eux et crée des amitiés fortes et durables. 3 ans après l’obtention de mon bac, je compte toujours parmi mes plus proches amis des personnes rencontrées à l’EIPACA.

 Pauline MULLER, ABIBAC, promotion 2019

J’ai fait toutes mes études supérieures à l’université Paris-Dauphine, dans une formation mêlant mathématiques, informatique et économie. Je finis mon Master 2 en Economie Digitale cette année et je commence à travailler en tant que Consultante Data Scientist chez Ekimetrics, un cabinet de conseil, fin avril.

Grâce à l’EIPACA, je n’ai eu aucun problème pour avoir des expériences à l’étranger au cours de mes études. J’ai fait un stage à New York, un volontariat au Vietnam et un échange à Mexico. À chaque fois, j’ai pu mettre en avant un très bon niveau d’anglais et une forte capacité d’adaptation, due à l’environnement international et multidisciplinaire de l’EIPACA.

Zoé Hance, British OIB, promotion 2014

Après l’EIPACA,  j’ai fait deux ans de classe prépa au lycée Militaire d’Aix en Provence, puis une troisième (quand on aime…) à l’école Internationale de Valbonne, cursus MPSI-MP.

J’ai intégré l’ENAC, cursus ICNA/MCTA (management et contrôle du trafic aérien), et je suis aujourd’hui en poste à Roissy-CDG.

Avec le recul, mon passage à l’EIPACA n’y est pas pour rien dans ma réussite au concours ICNA. L’anglais était alors un des coefficients les plus élevés, et avoir pu acquérir une aisance supplémentaire a été un coup de pouce évident à mes résultats dans les matières scientifiques.

Aurélien Magaud, OIB Britannique, promotion 2013

Après l’EIPACA, j’ai fait un Bachelor en Relations Internationales à l’Université de Genève (2017) (avec échange à l’Université de Sydney) puis un Bachelor en Droit suisse à l’Université de Genève (2019). Je suis maintenant en train de finir mon master en droit international à l’Institut de Hautes Études Internationales et du Développement de Genève (échange à Rome à la LUISS Guido Carli). Je commence en septembre un doctorat en droit à l’Université McGill à Montréal.

Clarisse Delaville, OIB italien, promotion 2014

Après le bac je me suis dirigée en fac de biologie mais n’ayant pas réussi à accrocher à ce système d’étude, j’ai décidé de me réorienter en école d’infirmière. Après mes 3 ans d’études d’infirmière, j’ai décidé de me spécialiser en tant qu’infirmière puéricultrice. Aujourd’hui, je travaille aux urgences pédiatriques au CHU de Bordeaux et cela me plaît beaucoup ! Je garde de merveilleux souvenirs du lycée, de cet enseignement si particulier qui nous a fait grandir et nous a ouvert à d’autres cultures.

 

 

 

 Les amis que je me suis fait durant cette période restent encore aujourd’hui, 10 ans après, mes meilleurs amis.

L’école internationale m’a été bénéfique, elle m’a permis de construire ma personnalité, de me donner confiance et surtout m’a donné la force de ne jamais abandonner !

 

Elsa Marin,

OIB britannique, promotion 2013

C’est à l’école internationale PACA que j’ai découvert ma passion pour la langue anglaise, ainsi que le goût pour l’enseignement dans une dimension internationale. En quittant le lycée, j’avais en tête deux projets bien précis : faire une année Erasmus dans un pays anglophone et, sur le long terme, enseigner les mathématiques en anglais. Après deux années de classes préparatoires en mathématiques (MPSI-MP) à Aix-en-Provence, j’ai pu effectuer une année scolaire à l’université de Coventry en Angleterre. C’était une expérience extrêmement enrichissante, tant sur le plan personnel que sur le plan linguistique.

Après une licence de mathématiques à l’université de Grenoble, j’ai passé et obtenu le CAPES en mathématiques. J’enseigne actuellement les mathématiques (en français) au collège-lycée international de Saint-Germain-en-Laye.

Dire que je ne serais pas là où je suis actuellement sans l’école internationale PACA, serait un euphémisme. Cela a été une vraie chance pour moi d’avoir pu y passer mes années de lycée. 

 Laura Leijnen, British OIB. promotion 2013

Après avoir obtenu mon bac à l’EIPACA, je suis allée faire mes études à l’Université de Grenoble Alpes. Je suis maintenant en 2ème année de double licence Droit et LEA anglais-espagnol (Langues Étrangères Appliquées), ce qui me permettra d’obtenir 2 diplômes à l’issue de mes 3 années d’étude. 

Cette licence propose une spécialisation en droit privé (JTA) ou en droit public (DAPI) et oriente les étudiants vers des carrières juridiques dans un cadre plutôt international (ONG, cabinets ou institutions internationales…), suite logique de mes études à l’EIPACA. C’est une formation intéressante qui m’a permis de garder mes langues tout en y ajoutant une solide formation juridique.                                     

Maya LEY ROBERTSON, promotion internationale  2019, British OIB

Je suis actuellement en deuxième année d’une double licence de Droit-Economie à l’université Panthéon Sorbonne Paris 1. Je suis très heureuse dans mes études, et même si le rythme est soutenu les matières sont toutes relativement intéressantes. La vie associative à la fac est très riche, ce qui permet à chacun de trouver une activité à son goût. Personnellement, je suis cette année la secrétaire générale de l’Association des Diplômés de Droit Economie de La Sorbonne, l’ADDE, qui est notre association de filière ! 

 L’EIPACA m’a beaucoup apporté. En plus d’un accompagnement personnalisé dans mon orientation et d’un suivi tout au long de ma scolarité, je me suis fait beaucoup d’amis avec qui je suis toujours en contact. Ma colocataire depuis 2 ans maintenant est d’ailleurs également une ancienne élève de notre école ! 

 Jade Fougerolle, promotion 2019, OIB chinois.

A la suite de l’école internationale,  j’ai choisi de suivre le parcours universitaire sélectif  de la double licence en droit français et anglais de l’University of Leicester (Royaume-Uni) et de l’université de Strasbourg. Pour obtenir les deux diplômes, ma licence se déroule sur quatre ans au lieu de trois, les deux premières années sont basées sur l’étude du Common law en Angleterre, ensuite les deux dernières années se passent en France pour l’enseignement du droit français.

Pendant la période de recherche pour les études supérieures, grâce au soutien précieux des professeures et membres de l’école, j’ai eu le courage de m’inscrire dans des programmes de grandes études en France et à l’étranger. J’ai découvert que je pouvais faire quelque chose de différent, ne pas forcément rester étudiante dans une même ville ou juste un pays. Grâce à l’école internationale, j’ai eu l’ambition de vivre une vie dans laquelle j’avais envie de découvrir le monde et ses possibilités.

Je suis vraiment reconnaissante à l’enseignement et au soutien que j’ai pu y recevoir durant mes trois années de lycéenne.

Chiara Tate, OIB britannique, promotion 2019.

Chers élèves de l’EIPACA,

Grâce à l’EIPACA, en moins de deux semaines, je m’envolais pour les États-Unis et me retrouvais immergée 3 semaines dans une culture radicalement différente. Plus important, j’ai découvert ma section. Ma Chère Section britannique.  Place au choc de la langue : les cours de mathématiques en anglais, William Shakespeare et ses figures de style à analyser, sans oublier la Guerre Froide passée au peigne fin par notre capitaine ! Grâce à des professeurs brillants et à l’écoute, j’ai décroché mon Baccalauréat mention bien. L’aventure s’est clôturée par une sublime cérémonie de remise des diplômes à la High School Musical !

Tu te demandes sûrement ce que j’ai pu faire de ma vie ensuite. À peine majeure, je suis partie pour le grand Nord, parapluie en main – parce que oui, à l’EIPACA, on n’en avait pas vraiment besoin – et prête pour cette nouvelle aventure ! Je suis fraîchement diplômée d’une licence bilingue français/anglais en Relations Internationales à l’ESPOL, une école de sciences politiques rattachée à l’Université Catholique de Lille.

Mon plan pour la suite : trouver un master ! Accroche-toi petit ! Si j’ai bien appris une chose dans la recherche de mes masters, c’est que les refus et les échecs te forgent un caractère. Tu sortiras grandi de cette expérience. Je suis actuellement sur liste d’attente pour un master à Science Po Toulouse en Affaires Internationales et Stratégies d’entreprise. Grâce à ce master, je pourrais devenir chargée de projets internationaux.

J’espère que mon expérience t’a rassuré, motivé, ou intrigué, mais surtout retiens une chose : l’EIPACA est une excellente formation et tu t’en rendras compte assez tôt.

Lola Garnier, OIB britannique, promotion 2018

Après l’obtention de mon baccalauréat ES option internationale anglais, je ne savais pas vers où m’orienter et j’ai intégré une classe préparatoire littéraire au Lycée Gustave Monod. Ces deux années m’ont permis de prendre mon temps pour réfléchir à mon orientation future, tout en formant ma culture littéraire et générale avec des enseignants d’exception. Puis, j’ai repostulé sur Parcoursup et j’ai été prise à l’école spéciale d’architecture (ESA) de Paris, où j’étudie actuellement.

Les études d’architectures sont très différentes, et encore plus à l’ESA, car les semestres s’articulent autour d’un projet d’atelier. Ces projets sont le cœur de nos études, nous y passons une grande partie de notre temps (jour comme nuit) puisque nous devons les conceptualiser et leur donner vie, aidé d’architectes professionnels. Ce sont des études très intenses qui demandent beaucoup d’implication et de passion.

Aujourd’hui, avec un peu de recul, je me rends compte de la chance que j’ai eue d’avoir réalisé mon parcours scolaire à l’EIPACA, dans une petite structure qui permet une proximité rare avec les enseignants mais également entre les élèves. Les enseignants y sont pour la plupart très passionnés et à l’écoute. Le cadre presque idyllique de l’école leur permet d’expérimenter de nouvelles méthodes d’enseignement. De plus le passage par une école comme celle-ci s’est révélé être un véritable plus grâce au cursus en anglais. Je pense que la plus grande force de cette école réside dans la personnalisation du parcours des élèves.

Hoan Lam LÊ, OIB britannique, promotion 2018

J’ai fait tout mon secondaire à l’EIPACA en section italienne. Une expérience inédite à tous les niveaux. Du point de vue social: on rencontre des personnes de toutes origines et découvre de nouvelles cultures, avec leur langage respectif et leurs traditions. On a presque l’impression de voyager à travers plusieurs pays mais sans bouger d’endroit. En même temps, on apprend à considérer l’autre même si nous n’avons pas les mêmes opinions.

D’autre part, la formation que nous y recevons est très particulière, avec les cours en deux langues.  Je rajouterai aussi que le fait que l’école soit assez « petite », nous permet de nous sentir comme dans une communauté (et ce d’autant plus que j’étais en internat). Surtout avec toutes les activités et les traditions qui nous sont mises à disposition, pour nous responsabiliser (comme l’UNICEF, le Senior Superstar, Graduation …). De plus, les professeurs sont très présents dans notre scolarité et font leur maximum pour nous encourager et nous valoriser : une chose qu’on ne peut trouver nulle part ailleurs. Ils sont par ailleurs de très bon conseils, alors pour votre orientation n’hésitez pas à les solliciter. Enfin, le diplôme obtenu en fin de parcours international offre à la fois la chance d’aspirer à de très bonnes universités en France, mais nous pouvons aussi postuler avec le même diplôme à l’étranger.

 Je suis actuellement dans une CPGE littéraire au lycée Masséna de Nice et je sais que mon dossier a marqué une certaine originalité par rapport aux autres. Ceci s’est confirmé car les professeurs savaient qui j’étais avant même d’avoir eu cours avec eux : j’étais « l’élève de Manosque ». La formation à l’EIPACA m’a mise en confiance pour appréhender mes années d’études supérieures.

 Pour finir, je dirais aux élèves qui y sont déjà : profitez au maximum de la chance qui vous est offerte et ayez conscience de l’avantage que vous avez. Pour les élèves qui souhaiteraient intégrer mais qui hésitent : je dirai, n’hésitez plus, tentez votre chance, vous n’aurez pas de regret.

 Chaïmaa Ben-Mohamed,  OIB italien, promotion 2019

J’étudie à Freiburg (Allemagne) au University College Freiburg, depuis presque deux ans, dans le cursus interdisciplinaire  « Liberal Arts and Sciences », où tout est enseigné en anglais. Il y en a d’autres en Angleterre ou aux Pays Bas. En plus, en troisième année, on peut partir à l’étranger, alors je pars un an aux États-Unis l’année prochaine!

Le passage du lycée à l’université a été un petit choc, parce que le mode d’apprentissage est complètement différent. Le professeur n’est là que pour diriger le déroulement de la discussion et de l’apprentissage collectif, il n’a pas réponse à tout…

L’EIPACA m’a définitivement aidée pour mon parcours post-bac, non seulement pour aller étudier à l’étranger, mais je me suis aussi rendue compte que j’étais très en avance sur les autres étudiants au début en philosophie, histoire et mathématiques par exemple, mais aussi en engagement extracurriculaire.

Pour ceux qui y sont encore: Profitezzzz! Je sais que les anciens disent souvent ça, mais on le pense vraiment 😉

Marianne Polge de Combret, British OIB, promotion 2019.